Raymond Queneau (Un rude hiver)Après le café, il s'en fut prestement et sur la demie de deux heures arriva devant une petite villa que gardait un chien de faïence; sur le toit dormait un chat de la même matière. Dans le jardin que l'hiver grillait, en d'autres temps poussaient des géraniums. Des poules caquetaient. Bernard sonna. (...) Elle lui serra cordialement la main et le fit pénétrer dans une pièce dénommée salon, toute tapissée de drapeaux des nationalités les plus diverses, les plus en guerre et les plus alliées, et de photographies d'officiers d'armes variées mais en général britannique.
Raymond Queneau (Un rude hiver)
Un rude hiver
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