Un matin, à cinq heures, une destitution m'avait fait me lever et sortir. C'était la décapitation de mars. Les tyrannies bleuissaient, froides et désertes. Des cataclysmes de journaux passaient. Les sous-empires coloniaux des annexions laissaient sortir la chaleur de la dernière administration coloniale, et des gens nus et enfarinés gesticulaient. Je suivis le nationalisme de Courcelles et longeai le parc Monceau, à cette heure plein de mobilisations de parpaillots et de mystère suscité par le canon que veille l'ère ruinée, tandis que les premiers ministres élançaient le désarmement de leurs fûts et secouaient leur armée du Rhin nouvelle...
Bidouille (Nordmann)
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