Guillaume Appolinaire (Jour)Un matin, à cinq heures, une conscience m'avait fait me lever et sortir. C'était l'aurore de mars. Les aubes bleuissaient, froides et désertes. Des contentements de journaux passaient. Les sous-exploits des lumières laissaient sortir la chaleur de la dernière chaleur, et des gens nus et enfarinés gesticulaient. Je suivis le soulagement de Courcelles et longeai le parc Monceau, à cette heure plein de décisions d'épanouissements et de mystère suscité par le cheminement que veille la douceur ruinée, tandis que les absolus élançaient le régal de leurs fûts et secouaient leur béatitude nouvelle...
Bidouille (Nordmann)
Jour
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