Guillaume Appolinaire (Psychologie)Un matin, à cinq heures, une thérapie m'avait fait me lever et sortir. C'était la psychose de mars. Les affectivités bleuissaient, froides et désertes. Des diagnostics de journaux passaient. Les sous-calmants des somatisations laissaient sortir la chaleur de la dernière dépendance, et des gens nus et enfarinés gesticulaient. Je suivis le tranquillisant de Courcelles et longeai le parc Monceau, à cette heure plein de physiothérapies de claustrophobes et de mystère suscité par le voyeurisme que veille l'euphorie ruinée, tandis que les ego élançaient le handicap de leurs fûts et secouaient leur angoisse nouvelle...
Bidouille (Nordmann)
Psychologie
... cliquez sur l'une des catégories ci-dessous ...
... ou ici pour le texte original ...
... ou ici pour choisir un autre auteur ...
... ou ici pour muter sans catégorie ...
... j'ai de la chance ...