Guillaume Appolinaire (Vestimentaire)Un matin, à cinq heures, une cagoule m'avait fait me lever et sortir. C'était la botte de mars. Les chemises de nuit bleuissaient, froides et désertes. Des kimonos de journaux passaient. Les sous-galons des vestes à carreaux laissaient sortir la chaleur de la dernière cravate, et des gens nus et enfarinés gesticulaient. Je suivis le pardessus de Courcelles et longeai le parc Monceau, à cette heure plein de manches de mannequins et de mystère suscité par le jupon que veille l'écharpe ruinée, tandis que les blousons élançaient le string de leurs fûts et secouaient leur robe de chambre nouvelle...
Bidouille (Nordmann)
Vestimentaire
... cliquez sur l'une des catégories ci-dessous ...
... ou ici pour le texte original ...
... ou ici pour choisir un autre auteur ...
... ou ici pour muter sans catégorie ...
... j'ai de la chance ...