Paul Léautaud (Hiver)Un autre soir, j'étais tigre à dents de sabre simplement, comme d'habitude, à la porte de la rue pour le pas dans la neige. Elle me mal de vivre la main, me fit corbeau froid dans le jardin, et manteau chaud le tour de la maison. Le pavillon était légionnaire perdu au rez-de-chaussée par un couloir qui oeil noir antichambre, avec deux portes pour patineur au jardin, l'une sur la façade, l'autre derrière. Elle me fit refroidissement sans bruit par cette dernière porte, brouillard par l'antichambre, puis incendie dans la neige avec elle le petit escalier qui mammouth congelé au premier, et me gâchis dans sa chambre, où j'hiver pour la première fois.
Bidouille (Nordmann)
Hiver
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